Au cours de l’évolution de l’être humain, le cerveau a produit de la dopamine pour récompenser un acte favorisant la survie de l’espèce, tel l’activité sexuelle, favorable à la procréation, ou encore la consommation d’aliments très caloriques, favorable à la production d’énergie pour rester en vie.
La dopamine diminue l’anxiété et provoque une sensation de plaisir et de bien-être qui donne absolument envie de recommencer le comportement menant à sa production.
Le problème avec notre société actuelle est que nous n’avons plus besoin de manger des aliments super-caloriques et super-sucrés pour survivre. Nous sommes également beaucoup moins actifs que l’homme des cavernes.
Malheureusement, le cerveau ne s’est pas encore adapté à cette nouvelle réalité et continue à récompenser la consommation d’aliments super – caloriques, super-sucrés, en produisant un flux de dopamine.
C’est ainsi que plusieurs ont du mal à s’extirper de la surconsommation de sucreries, de desserts, de boissons sucrées, de frites, de chips et autre malbouffe.
L’addiction ressemble quasiment à l’addiction aux drogues dures, aux écrans, au sexe….. avec des conséquences comme l’obésité, le foie gras, le diabète, la hausse du taux de cholestérol ou de la pression artérielle, les cancers….
Que faire pour sortir de l’emprise de la malbouffe?
Des pistes de solutions vous sont offertes dans le podcast # 12, ainsi que le document « Les gâteries : doit-on s’en priver? », bientôt disponibles dans la section Boutique du site web du Club NutriChoix™.
